Amélie Notomb

Fille du baron Patrick Nothomb, ambassadeur de Belgique, Amélie Nothomb séjourne ainsi au Japon, en Chine, aux États-Unis (New York), en Asie du Sud Est (Laos, Bangladesh, Birmanie). Elle ne découvre la Belgique qu'à l'âge de 17 ans. Elle y finit ses humanités à l’Institut Marie Immaculée Montjoie à Uccle pour ensuite entamer des études de philologie romane à l’Université libre de Bruxelles.

Depuis 1992, elle publie chez Albin Michel un livre par an soit dix-sept romans à ce jour. Ses écrits sont traduits dans trente-sept langues à travers le monde.

Comments

[Amélie,Lhn 2nd4]

J’ai trouvé ce film très ennuyeux du début à la fin. Car tout le film se passe dans une entreprise japonaise, il n’y a aucune action et certaines scènes sont complètement inutiles. Amélie Nothomb est à la limite de l’hystérie dans certains passages du film et à aucun moment je n’ai réussi à comprendre ce personnage. Cependant, ce film a peut être bien des points positifs car il est vraiment original. Oui, c’est le seul film que j’ai vu où une fille est assez tarée pour se déshabiller la nuit dans un bureau et s’amuse à se renverser une poubelle dessus pour se tenir chaud. C’était aussi aussi une bonne chose de voir ce film car maintenant je pourrai regarder n’importe quel long métrage et le trouver intéressant même si c’est un navet.

[CarolineO,2e7,Sc]

Stupeur et Tremblement, livre écrit par Amélie Nothomb, est un roman avec beaucoup de défauts et peu de qualités. En effet, ce livre présente trop de détails et trop de répétitions qui risquent d’ennuyer le lecteur. En revanche, les paysages sont magnifiquement décrits et l’auteur nous fait découvrir la culture nippone avec ses qualités et ses défauts. Par conséquent, ce livre n’est pas forcément recommandable à un public qui n'est pas passionné par le Japon.

[Mylène W. 2e7]

Le livre Stupeur et tremblements est intéressant, on y apprend les bases de la culture japonaise néanmoins il est très répétitif.

Amélie Nothomb raconte l'histoire d'une jeune femme qui travaille dans une entreprise japonaise. Elle est tout le temps retrogradée malgré ses diplômes et ses efforts.
Le livre est assez répétitif. A chaque fois qu'elle est rétrogradée c'est la même histoire. Il y a peu d'action et beaucoup de détails.
Malgré tout, Amélie Nothomb décrit des paysages du Japon ce qui nous fait beaucoup voyager. Le livre est facile à lire, et il est à la portée de personnes qui n'aiment pas forcement la lecture.

Il vaut la peine d'être lu, car comme dans chaque livre il y a quelque chose à apprendre.

[William 2e7]

Dans ce livre , Amélie-San nous raconte son histoire. Elle est embauchée par Yumimoto, une puissante firme japonaise qui est gérée à la manière nippone, autant dire d'une main de fer. Elle va décrire une manière de travailler quasi inconnue des occidentaux. Elle nous montre que dans une firme nippone, la peur est présente à chaque instant et il est impossible de laisser une place au naturel et à l'autonomie. Ses journées vont se ressembler de plus en plus et elle se verra descendre les échelons au fil des jours alors qu'elle pensait déjà être au bas de l'échelle.
Dans cette critique ouverte du système nippon et de ses us et coutumes, Amélie Nothomb ajoute une touche d'humour décapant.

[JohannieD,27,Sch]

Ce roman, ayant une part autobiographique, est déstabilisant. En effet, il „détruit“ tous les idéaux que l'on peut avoir, ainsi que les buts que l'on peut s'être fixé. Dans cette histoire, l'honneur et l'estime de soi-même n'existent plus.

„Récapitulons. Petite, je voulais devenir Dieu. Très vite, je compris que c'était trop demander et je mis un peu d'eau bénite dans mon vin de messe : je serais Jésus. J'eu rapidement conscience de mon excès d'ambition et j'acceptais de „faire“ martyre quand je serais grande. Adulte, je me résolus à être moins mégalomane et à travailler comme interprète dans une société japonaise. Hélas, c'était trop bien pour moi et je dus descendre un échelon pour devenir comptable. Mais il n'y avait pas de frein à ma chute sociale. Je fus donc mutée au poste de rien du tout. Malheureusement - j'aurais du m'en douter -, rien du tout c'était encore trop bien pour moi. Et ce fut alors que je reçus mon affectation ultime : nettoyeuse de chiottes.“

Le lecteur, tout comme la narratrice, perd ses repères et se laisse tomber dans un abime sans fond.

Stupeur et tremblements est une œuvre intéressante très vite lue où l'on ne peut qu'admirer l'humour que garde la narratrice malgré tout.