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"Je l'ai lu, l'as-tu vu ? "
18 septembre 2009

Ne le dis à personne : Le film

Ne le dis à personne est un film français réalisé par Guillaume Canet et sorti en 2006.

Scenario : Guillaume Canet et Philippe Lefèbvre


Distribution :


François Cluzet : Alexandre Beck

André Dussollier : Jacques Laurentin

Marie-Josée Croze : Margot Beck

Kristin Scott Thomas : Hélène Perkins

Nathalie Baye : Élisabeth Feldman 

François Berléand : Éric Levkowitch

Jean Rochefort : Gilbert Neuville 

Guillaume Canet : Philippe Neuville

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Commentaires
Y
Ne le dis à personne est une adaptation du livre d’Harlen Coben sorti au cinéma en 2006.<br /> Pédiatre, David Beck aime son métier et l’exerce avec passion. Sa femme a été assassinée 8 ans auparavant par un serial killer. Il n’a toujours pas tourné la page.<br /> Ne le dis à personne : le film, fût décevant. Encore le livre, on pouvait s’inventer notre propre scénario, avec de l’action et une histoire qui tient la route. Guillaume Canet n’a pas su tirer profit du livre et de ce qui en ressortait, peut-être qu’une mise en scène en Anglais aurait été plus intéressant… Même en n’ayant pas lu le livre, on pouvait prévoir ce qu’il allait arriver, comme par exemple la fin, où le couple se retrouve, plusieurs années après. Et moi qui pensais qu’un tueur en série allait sévir, en tuant toute la famille… Mais non.<br /> <br /> Le livre est recommandé, le film, on aurait pu s’en passer.
D
Ne le dis à personne, film réalisé par Guillaume Canet était attendu suite aux appréciations positives du livre de Harlan Coben. Certains auront pu être déçu. <br /> En effet, nous ne retrouvons pas le rythme et la tension que le livre a su si bien nous communiqués. Il est dommage que seules les scènes que certains diront choquantes apportent l’action et les frissons qui manquent certainement. C’est donc dans un film, plutôt plat, sans véritable suspens que nous avons découvert l’histoire de Alexandre Beck (qui d’ailleurs n’a pas le même prénom dans le livre !). Cet homme pleure sa femme depuis huit ans mais il va recevoir un e-mail étrange et pour le moins inattendu. Il va alors surgir en lui un doute, un espoir…<br /> Cependant, ce film mérite que l’on s’attarde sur la psychologie des personnages qui est malgré tout bien soulignée et intéressante, le tout accompagné d’une musique bien choisie.
E
Alexandre Beck a perdu sa femme, Margot, dans un drame des plus étrange et resté un peu inexpliqué. Huit ans plus tard, alors qu’il ne s’est jamais remis de cette tragédie, il reçoit un mail qui laisserait supposer que Margot est toujours en vie. S’ajoute à cela la réouverture de l’enquête à cause de la découverte de deux cadavre non loin du lac Charmaine, le lieu du supposé crime. S’en suit alors une série de doutes, d’espoir et de crainte pour Alexandre.<br /> « Ne le dis à personne » de Guillaume Canet était un film qui s’averrai prometteur par son palmarès d’acteurs et par le fait que se soit l’adaptation d’un roman sublime et passionnant.<br /> Mais finalement, si Guillaume Canet est un acteur au talent incontestable, en tant que réalisateur il n’arrive manifestement pas à nous maintenir en haleine devant un mystère des plus inquiétant, comme sait si bien le faire Harlan Coben, l’auteur du roman. Le film se révèle donc être assez décevant. D’autre part les noms de personnages changés (ou plutôt « franciser ») et une fin légèrement différente s’ajoutent aux points négatifs, d’autant plus si vous êtes un adepte du livre. <br /> Heureusement, nous ne pouvons que nous incliner devant de très bons choix musicaux qui relève la prestation du film. Il y a également quelque scène pleine d’humour et bien sûr les acteurs qui jouent tout de même leur rôle avec beaucoup de professionnalisme.<br /> Attention quand même, de nombreuses scènes d’une très forte violence qu’elle soit physique ou morale, peuvent facilement choquer les âmes sensibles.
D
Ne le dis à personne, film réalisé par Guillaume Canet était attendu suite aux appréciations positives du livre de Harlan Coben. Certains auront pu être déçu. <br /> En effet, nous ne retrouvons pas le rythme et la tension que le livre a su si bien nous communiqués. Il est dommage que seules les scènes que certains diront choquantes apportent l’action et les frissons qui manquent certainement. C’est donc dans un film, plutôt plat, sans véritable suspens que nous avons découvert l’histoire de Alexandre Beck (qui d’ailleurs n’a pas le même prénom dans le livre !). Cet homme pleure sa femme depuis huit ans mais il va recevoir un e-mail étrange et pour le moins inattendu. Il va alors surgir en lui un doute, un espoir…<br /> Cependant, ce film mérite que l’on s’attarde sur la psychologie des personnages qui est malgré tout bien soulignée et intéressante, le tout accompagné d’une musique bien choisie.
M
Alexandre, médecin, et pas totalement remis de la disparition de sa femme, reçoit un jour un mail dans lequelle il l’aperçoit au grâce à une caméra de surveillance, pourtant elle avait été tuée des années auparavant, son corps avait été identifié et les coupables non retrouvés. Toute cette histoire va resurgir et Alexandre va, tant bien que mal, essayer d’éclairer cette affaire qui lui restait encore floue. L’adaptation cinématographique de Guillaume Canet, qui tient également un rôle au sein du film, retranscrit bien la rythmique du livre, les mouvements de caméra sont vifs et rapides ce qui insiste bien sur l’enchaînement d’actions mais rend également une tension soutenue tout au long du film ce qui peut devenir fatiguant pour le spectateur. Il était plus facile de s’imprégner de la psychologie du personnage principal dans le livre, le film, lui, instaure plutôt une distance entre le spectateur et le personnage, peut être à cause du fait que les images du film laissent moins la possibilité d’imaginer et donc d’être proche des personnages d’autant plus que leurs noms ont été changés lors de l’adaptation. En ce qui concerne la synopsis, elle est très bien retracée et le suspens en est également préservé. Le film accentue sur les détails qui n’auraient peut être pas été interprétés ou remarqués lors de la lecture comme toute la symbolique des lieux : l’histoire commence et se termine au lac. <br /> Cette adaptation est donc plutôt réussie même si plusieurs occasions s’offrent aux spectateurs de se lasser ou de se déconcentrer.
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